mardi, juin 30, 2009

It's so hot so hot







En fait là, sur le coup j'ai pas grand chose à raconter n_n°




Pour ainsi dire, rien du tout.


Mise a part que ma soeur a trouvé un travail, et ça c'est vachement kiffant : D


Je suis proud de ma soeur les gars.


Elle va voler vers les berges de l'assurance, avec dans sa main, bientôt peut être, ou du moins, un jour, un présentoir avec écrit son nom dessus.


et ça, c'est la classe. : )


Succeed.




En attendant moi, j'ai vu une oeuvre de Dagobert Pêche offrir des fleurs a une fille sur un décor Mondrian.


Omg j'ai envie de dire! : O


Sinon, j'ai aussi vu des hommes pipes marcher dans les rues et bousculer des dames, ou leur demander leur chemin...




Et si vous voulez savoir, aujourd'hui, j'ai passé la moitié de ma journée a faire un dodo en pâte a modeler.


N'empêche, le trip Facteur Cheval c'est bien réussi, parce que mon dodo il ressemble grave à un dodo, vous en croyez pas vos yeux.


En attendant, j'ai maxi maxi chaud là g_g




Ma vie elle est trop bien quand même! : O




Purée mais j'ai tellement chaud que j'irais bien plonger dans ma piscine là...


A POIL AU CLAIR DE LUNE!




vendredi, juin 19, 2009

It's always better tomorow. On an indivudal scale.


Quand je parle, personne m'écoute en général. Soit parce que je dis trés trucs incompréhensibles, ou jugés parfaitement ininterressants. Soit parce que j'ai le gène de la campagne du Sud-Ouest qui fait que je ne parle pas au gens comme si ils étaient en phase terminale, mais qui fait qu'il me paraît parler une langue compréhensible seulement par quelques personnes qui m'écoutent et s'interressent même quand je dis un truc pas foncièrement interressants.
Ma mère pense que je suis le genre de personne qui ne parle pas quand je rencontre quelqu'un et que c'est pour ça que j'ai toujours eut du mal à rencontrer des gens.
Cependant, ma mère n'a pas compris que j'étais le genre totalement contraire du sien qui s'interresse à ce que disent les gens, même si c'est particulièrement nul, pour au moins pas leur montrer qu'ils sont inutiles à la société.
C'est marrant, j'ai l'impression que les filles sur l'image sont en train de se rire de moi...
: D
C'était: La raison pour laquelle j'aime msn et les blogs, parce que les gens qui viennent sont obligés de te lire, mais pas forcément de s'interresser. Mais au moins, ils lisent.
D'ailleurs, c'était même pas le sujet du post, les gars.
Des nouvelles de Bolderie: Bolderie va bien, elle se remet petit à petit de son traumatisme. Cependant, la croquette reste toujours introuvable. Les recherches s'intensifie, à l'heure qu'il est, deux lamproies et cinq leprechauns musulmans spécialisés dans la spéléologie s'activent pour retrouver le corps.
Sinon, d'autres nouvelles. Je vois des trucs qui s'effritent et n'aie envie que de m'exprimer par un smiley devant cela:
: <
(Comme on dit: Bah Sacré Merde.)
¨Peut être parce que comme je ne suis pas Dieu (tiens en parlant de lui...) je ne peux rien y faire, et peut être aussi parce que je n'ai pas envie de réagir, parce que j'estime que ce n'est pas à moi, particulièrement de le faire, et aussi parce que rappelez vous, je suis censée être devenue méchante et égoïste comme John Cleese (pardon John Cleese) j'ai bien dit censée, quand même, parce que ça a pas gavé marché, quoique.
En même temps, tout est éphémère, je le savais déjà avant, mais avant, j'étais pas aussi blasée. Malgré le fait que je ne sois pas blasée. Enfin, y'a blasé et blasé quoi tu vois, c'est genre je suis blasé mais dans ma life tu vois je smile et je dis des trucs inutiles pas blasants du tout. Ouais, c'était pourri comme argument... j'ai oublié ce que je disais aussi tiens.
Mince.
Ah oui, je voulais ajouter que j'en avais marre des gens individualistes et égocentriques et sociables comme des Misanthropes.
MISANTHROPE n.m (gr. miseîn, haïr et antrôpos, homme) reptile à fortes et longues mâchoires, voisin du crocodile mais à la peau couleur rouge et orange et à mains et visage humains, vivant dans les fleuves et marais, restant dissimulé dans la boue par groupe restreint et rejettant toute autre vie animale s'approchant. ( long jusqu'à 5m; cri: le misanthrope éructe )
Ce qui me donne aujourd'hui bien envie d'aller chasser le dahut et le haggis sauvage ÔvÔ
Et faire Marcel Duchamp aussi. Entre deux repérages d'appartements sur ma carte photocopiée... rooooh, mais je sais, je vais l'accrocher au mur et mettre des punaises : D
...
....
.... hen, y'a plus de place sur les murs : O
NOOOOOON.
en fait, si, y'a de la place, sauf que l'accès à chaque mur est bloqué. Sacré Merde alors!
Et puis mince quand c'est qu'on va à la plage faire du sourfe? D : QUAND J'AURAIS DU POIL PARTOUT SUR MON CORPS C'EST ÇA HEIN?
C'est pas sympa ça, ah non alors : <
OOoooh eh, eh, je peux parler de clips aussi, parce que je kiffe les clips!
Un clip qui me fait peur et qui me fait me cacher derrière mon canapé: Le clip de Wrong de Depeche Mode, les gens qui pêchent les chous à la mode de chez nous. Non je vous jure il est flippant grave.
Un clip que j'aime pas: le clip de Bat for Lashes parce qu'il me fait trop penser à Lily Allen et j'aime pas qu'on copie Lily Allen, parce que Lily Allen c'est mieux d'abord.
Un clip que je kiffe: Le clip de The Noisettes, qui vaut vraiment le coup tellement il est vingtage, d'ailleurs, je suis sûre que Cécile elle le connaît parce que c'est obligé, et je suis sûre qu'elle aime. Ces gens, je suis persuadée qu'ils viennent du passé. De pas loin hein, mais ils sont doués au niveau on vous fait croire qu'on est en 90.

jeudi, juin 18, 2009

You want to know some funny story?



Today the news.






Aujourd'hui, pour vous, exclusivement, du jamais vu, une aventure de Bolderie. Enfin, surtout de moi et de ma soeur.

Ma soeur, pleine d'affection pour son furet albinos aveugle et amorphe, décida cet aprés midi, de refaire l'hamac détruit par de nombreuses siestes et par le poids de la paresse de l'animal. Ainsi, je fus préposée à surveiller la bête qui, par une alchimie inconnue que je mettrais sur le compte d'une chaleur printanière particulièrement estivale et du soleil rayonnant particulièrement agressif pour la peau, s'était mise en tête de découvrir le jardin qui se résumait pour elle et pour ses pattes fainéantes au coin du puits.

Ainsi Bolderie, puisque tel est son nom, furetait, -n'est ce pas, car c'est un furet,- autour du massif de fleurs et du puits dont je surveillais les alentours tel un mirador SS bienveillant pour cette erreur de la famille des mustélidés cependant tout à fait chou et à croquer. Cependant, vous vous en doutez, un mustélidé, de la famille du putois, et à 99% aveugle qui plus est, ne va pas trouver mieux que de venir fouiner, -n'est ce pas, car elle est semblable à une fouine au pelage enneigé de l'hermine qui tire plus vers le jaune poussin que vers le blanc nacré- aux alentours des trous d'aérations du puits. La petite venait donc sentir un orifice particulier duquel je la repoussais violement en la réprimandant - c'est trés drôle de réprimander un furet. c'est une bête imbécile et têtue qui ne comprend rien, même le danger imminent d'une noyade dans une eau venue tout droit de la mer baltique - Orifice principal que je bouchai avec une branche carrée - oui car chez moi, des chiens à trois tête et demie avec des pattes en forme de tréateau viennent apporter des branches carrées dans le domaine du sable et du parpaing -afin que Bolderie ne risque pas sa vie à se la jouer à la Indiana Jones dans un sousterrain innondé, glauque et monstrueusement sombre.

Cependant, mon ignorance fut la cause de son malheur, que nous pouvons bien aisément mettre aussi sur le compte de sa bêtise incroyable et de son inconscience pathologique pour un animal doté d'un instinct -si nous considérons que Bolderie puisse en avoir un -car il y avait d'autres trous autour du puits. Et un particulièrement dans le massif dont l'imbécile s'était éprise. Jouant une énième fois à "mange-ta-croquette-dans-le-tunnel" Bolderie n'émit plus aucun signe de vie dans le massif après avoir été cherché sa nourriture dans la gamelle posée par terre à cet effet qui était d'ailleurs ici pour la désaltérer et pas pour jouer à "mange-ta-croquette-dans-le-tunnel". Puis j'entendis quelque chose comme



FLOKTCH



"Marjorie..."

Floktch floktch

"Marjorie je crois que Bolderie est tombée dans le puits...

- Noooooooooon?"

Floktch Floktch Floktch.
"Oh boh, justement moi qui en voulait un autre!"

Flokch flokch.


Nous échangeâmes ce qu'en hyperbole les littéraires appellent un "visage horrifié".

"Appelle papa! appelle papa!"

J'appelai, mais ne reçu aucun réponse. La panique me gagnait, angoissé pour la pauvre bête prisonnière des eaux glacée du lac souterrain maudit par les vents hurlants du nord. - en vérité, le moment était fort cocasse puisque l'espoir de survie de Bolderie, bien qu'elle ne le savait pas, était de 80%-

"Va chercher l'épuisette!
- Oui elle est là!
- Mais pas celle là, l'épuisette de la piscine!"

Car dans sa logique parfaitement calibrée, ma soeur s'apprêtait à me tendre l'épuisette de pêche dont le manche fait un peu moins de la taille d'une jambe d'un homme adulte, ce qui, vous en conviendrez est parfaitement adéquat pour atteindre le niveau d'eau d'un puits de deux mètres de profondeur uniquement si votre bras est potentiellement extensible.

"Bolderie! Bolderie! t'inquiètes pas petit chou! On va te sauver! On va venir te chercher! Tiens le coup!" Je criais a travers le trou que j'avais déboucher pour faire garder espoir à mon amie animal, à quatre pattes dans l'herbe tandis que ma soeur allait chercher l'épuisette adéquate.

"On va te sauver!"

Arriva quelques minutes après, sur son cheval à la robe mouchetée de rouge car ayant combattu les chiens tréteau à trois tête et demie, le sauveur, mon père, qui sauta de son destrier fidèle qui chuta sur le sol dans un bruit d'aluminium fragile, ses roues tournant encore. Alors, de sa force surhumaine de roi des briques et des pelleteuses, il ouvrit le puits et vue la jeune blanche et pure Bolderie se débattre dans les eaux qui attrapaient ses membres déjà engourdis pour la faire plonger avec elle dans les profondeurs abyssales des entrailles humides de la terre, la donnant en sacrifice à l'Hypothermie et à la Mort.

Bolderie s'accrocha désespérément à l'épuisette bleue qui provenait de la lumière divine qui venait d'apparaître au dessus de sa tête. L'ange salvateur en forme de cuillère avec un filet lui tendait sa main céleste.

Mais elle glissa, et chuta à maintes reprises, et sur elle venait se projeter le bras de l'ange qu'elle crut devenir un démon dans les eaux noires et glacées, un démon ne voulant que son mal, ne voulant qu'une chose, qu'elle rejoigne Hypothermie et son amie la Mort qui l'attendait au fond. Mais elle s'accrocha, et l'ange sortit sa main du tunnel et le Roi des parpaings et des pelleteuses l'attrapa par la tête pour la sortir le plus vite possible. La lumière rendit aveugle le 1% de vision que la nature lui avait donné.



Pour terminer nous plaçâmes Bolderie dans son nouveau hamac, espérant que le défaut de trajectoire dont elle souffra lorsque nous la posâmes sur l'herbe ne serait pas l'indice d'une mort prochaine.

Seul l'avenir, cependant nous dira si elle survivra.

Pour l'instant, son état est stable, mais ne vous inquiètez pas, nous vous donnerons des infos dés qu'il sera possible.



La bête est traumatisée, mais ça lui servira probablement de leçon. Car, si elle retombe une fois de plus dans les bras de la déesse sousterraine, celle ci ne voudra même plus d'elle tellement sa bêtise serait inqualifiable et honteuse.

Nous en concluons aussi que cette bête était en effet à moitié aveugle et dépourvue d'instinct animal.

Mais aussi celui que les habitudes nuisent à quiconque, même aux furets.
N'apprenez donc jamais à une fouine à jouer à mange-ta-croquette-dans-le-tunnel - bien que nous n'ayions absolument pas appris à Bolderie à le faire, c'est elle qui a un complexe sur le fait que nous puissions la voir manger - car sinon, votre fouine risque de prendre uine croquette et d'aller la manger dans le puits.



Nous sommes sans nouvelle de la croquette.

samedi, juin 13, 2009

My life is so fucking fanstatic

Certes il est vrai que je pourrais ne pas étaler mon bonheur et ma chance insolente en matière de réussite scolaire, mais on m'a quémandé des nouvelles...

Je n'ai pas écrit de post le 9 juin, parce que ça aurait été résumé par un simple: putain sa mère haaaa ha haaaa mwah ha ha ha ouiiiiii ha ha yeeeeeeeeehaaaa je vais à tooooool : D

Tool, les gars, c'est Toulouse. Un monde où les gens conduisent aussi mal qu'à Bordeaux, où les gens sont aussi riches qu'à Bordeaux, un monde où il y a le métro et plein de choses à faire, mais surtout un monde où je pourrais demander une putain de CHOCOLATINE et pas un pain au chocolat. 
Aujourd'hui, j'ai tout vidé, sans regrets, sans nostalgie, sans réels sentiments pour ces murs sans souvenirs gravés, mise à part celui du rire de Caro dans les toilettes et des goûters entre Alice, Elise et moi, de temps en temps. J'ai pas vécu là, j'ai vécu à Charles, dans mon lycée, lui, plein de souvenir, lui sûrement même pas rangé. J'aime quand les pages se tournent. Angou, j'y ai jamais vraiment habité, mais je ne me sens pas vraiment l'avoir quitté pour de bon. 
Aujourd'hui, on a tout vidé et j'avais mon sourire bêta sur le visage. Pas celui du bonheur, ni de la nostalgie, non, celui de d'habitude. Mais oui, celui là., qui me tire le visage avec me le rendre carré et qui me fait ressembler à un clown. J'étais déjà partie depuis longtemps, en fait. Du coup, ça m'a rien fait de voir ça tout vide.

Ouais, en fait, on s'en tape c'est vrai.
Tes pouces sur ma nuque, hier soir, ou plutôt de matin, je m'en tape pas vraiment, même si j'ai fait comme si. Je m'en tape que tu l'aies fait à la chaîne, pour moi c'était unique.

Angou, c'est un fantôme croisé dans les rues, d'un coup d'oeil furtif, dans une fuite de vision, pour la toute dernière fois. J'ai rien senti, ou peut être à peine, dans mon estomac. Y'avait Alice, c'était l'opposition, passé présent, sans futur. 
Au revoir aux fantômes, à Toulouse il fait chaud, et ils ne supportent pas la chaleur. 
Pour la dernière fois. 
Merci.
Sérieux, Dieu, merci. Non mais franchement. Sérieux, merci vieille branche.

Et puis, grimpés sur le toit, libres comme des chats à regarder la Lune qui est "trop bonne" toute jaune et qui monte petit à petit, faisant disparaître l'ombre d'ET et de son pote sur leur vélos qui ont fait pause pour prendre la photo au retardateur. Toutes les lumières allumées qui clignotent comme un papier peint vivant, tous ces géants de la nuit les uns à côtés des autres  de toutes les couleurs, géants parce qu'on les voit de loin, du haut des toits. Immobiles comme des rochers lumineux, allumés par les ténèbres. Libres comme des chats et comme des pirates à boire du rhum qui transforme ta trachée comme un volcan. Mais putain c'est dégueulasse. Mais non c'est de l'eau. T'en rates pas une toi. L'étoile filante, c'était pas un canard blanc, mais c'était juste un rire moqueur de celui qu'allume toutes les lumières et qui nous fait monter sur les toits. Dieu, tu te moques. Mais ça me fait rire. 

J'aurais plus peur, dans la rue, à champion, de croiser mon passé que je regarde pas en face. J'aurais plus à te regarder, noyé dans les vagues multicolores qui s'échappent de ta tête d'Eric Idle, mais j'aurais plus le reste non plus. Bah, tant pis. Je vais à Tool, les gars! JE VAIS A TOOOL
qu'est que j'en ai à branler? de toute façon, j'ai rien à branler moi n_n
Isn't it?




mercredi, juin 03, 2009

Learn Me How to Be Selfish

Forgive me, but me and my pride, we need that.

Learn me how to be selfish, because I just awfully need it.  And 
I really think you're the only one who can learn me that. Oh, oh, not because you are.
Just because I love you, friend : )
Yes it's not understandable, maybe for you, but not for me. Human
 being and his fucking mind is complicated. So I am. 

Sorry but I need it to survive between nasty devils. 
So help me and learn me how to fly in selfishness.



Now, order me to get up on the table.


mardi, juin 02, 2009

It's your Fucking Passion


Simple Joy, attentes et ennui. Ma journée d'hier n'a été vécue que pour cet instant télévisuel que j'ai vécue dans la grande solitude de ma vie dans cette campagne sur laquelle Dieu a par une inadvertance maladroite versé le godet bleu ciel layette et vert grenouille d'amazonie.
Le Freischütz, ma fucking passion. le Freichütz, le kitsch suprême, du surréalisme à la pelle, du second degré flottant au dessus des paillettes de cristaux svarovski. Cartoon et Bande Dessinées. De l'appartition de Max l'Homme Buisson Homosexuel qui se fige en imitant ce qui semblerait être un buisson, à celle de Samiel le Super Méchant Chanteur de Rock Pyschotique non sans rappeler un mélange du Joker et de Bono, comment ne pas pouffer de rire? Oh pardon? Ça se fait? Ces vieux snobinards ronds et dodus de la salle ont-ils autant ri que moi devant cette farce magnifique et cette adaptation éxhubérante et d'une qualité artistique indéniable ?




Comment remercier Gabriel, mon tendre majordome si attentionnée et son ô combien tout puissant programme télé descendu des cieux pour apporter la Bonne Nouvelle?


Miracle de Pentecôte retardé d'un jour.


Passion de Ma vie.


Grand Dieu quel moment orgasmique j'ai passé à commenter cette horreur unique et indispensable à l'histoire de l'opéra?

Ma soeur me tourne autour en se brossant les dents, comme un rapace affamé par l'ordinateur qu'il va s'empresser de dévorer.
Ma soeur est de mauvaise humeur... Mais rien ne saura contrarier le sourire béat de bonheur qu'a....
je laisse l'ordi à cet oiseau de proie impatient dont s'émane l'envie de jouer le solo en ut majeur de la geekitude sur facebook.
cette robe, pèse, juste, douze kilos.

Viktor et Rolf pètent un câble avec les costumes...

"Viktor, je ne sais que faire comme costume! La forêt bavaroise, c'est vraiment trop moche!
- Rolf, je propose que nous tournions la tête d'un côté différent, et nous ferons un costume sur la première chose que nous verrons!
- VIKTOR JE VOIS UN BUISSON!
- ROLF, JE VOIS UN BOUQUET DE FLEURS!"
Voilà.
J'aime l'art.